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La presse

Nuages abstraits
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Les Hurluberlus n’ont pas raté leur «hold-up»

La troupe du village a fait carton plein lors de ses huit représentations après le report du début d’année.

En passant la porte du théâtre improvisé dans la salle communale, on pourrait se demander si la troupe villageoise a su se renouveler pour faire rire son public, accouru en nombre durant huit soirées complètes.
Dès les premières secondes, la réponse est oui, à commencer par la découverte du décor qui semble à chaque fois plus structuré, grâce à la patte de Philippe Pernet. Il faut bien cela pour servir de cadre à la pièce «Hold-up», un huis clos burlesque où le héros (incarné par Jan Kocher) va voir le week-end promis à sa maîtresse (Mary-Jeanne Distretti) voler en éclats. En raison de l’arrivée soudaine de sa femme, sa belle-mère, son meilleur ami (Bernard Perey) puis deux gangsters venus se réfugier dans la coquette villa après avoir braqué une banque. 
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11.11.2022 Journal de Morges // Cédric Jotterand

Photos: Aniessa Jotterand

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Pure plaisir

Les comédiens se donnent à fond, à l’image du caïd Guy Jotterand durant deux heures de pur plaisir. L’épouse (Isabelle Pernet) et la belle-mère sarcastique (Ariane Grand) sont parfaites alors que Marc-Henri Sauty déclenche l’hilarité en commissaire de police un peu trop sûr de lui.On sent, à l’évidence, la patte de La Castou à la mise en scène, la malheureuse n’ayant pas pu accompagner ses protégés en raison d’un bras cassé. Prémonitoire peut-être, la formule étant idéale pour qualifier le duo de gangsters, même si tout se termine bien à la fin. 

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Architecte en or pour les Hurluberlus

01.11.2019 Journal de Morges // Cédric Jotterand

C'est de saison !  Avec l'hivers qui approche, certains villages sont animés par Halloween, d'autres par les pièces de théâtre. Avec des acteurs forcément amateurs, mais qui ne lésinent pas sur les moyens pour se donner l'air de professionnels une fois le rideau ouvert, comme c'est le cas jusqu'à dimanche à Denens où les Hurluberlus jouent "Impair et père" (spectacle complet). 
Au cœur d'un hôpital, c'est le grand jour pour le Docteur Jouffroy qui doit prononcer un discours devant 300 confrères et la ministre, légion d'honneur à la clé. Mais tout part évidemment de travers, dans cette mise en scène hilarante de La Castou.

 

S'il faut signaler la performance car c'en est une-de Marc-Henri Sauty qui est  omniprésent.

Chaque  acteur semble taillé pour son rôle, de la directrice hystérique (Aniessa Jotterand) au collègue vieux garçon et lent à la détente (Bernard Perey). 

Mais c'est surtout la performance d'ensemble qui est à relever.

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DENENS/ Troupe de théâtre

La nouvelle pièce de la compagnie du village suscite la ruée dans la petite salle communale. Il faut dire que chaque détail y est réglé comme du papier à musique. 

Alors que les revues avec la crème des humoristes romands fleurissent un peu partout, on pourrait imaginer que la réunion des mots théâtre et amateur souffre de la comparaison au niveau local. Mais le public en redemande, comme en témoignent les huit représentations des Hurluberlus qui se jouent à guichets fermés jusqu'à dimanche. A la fin du mois,  deux autres «institutions» du district risquent elles aussi de faire le plein: la Birolande de Bière et le Chœur Mixte L'Avenir de Bussy-Chardonney.

Si la première est une véritable troupe théâtrale qui se produira à l' enseigne «Des Rails», un spectacle inédit , la seconde mélange les chants avec un fil rouge qui accorde une très large place à la comédie et à l'humour , le tout dans un décor à chaque fois renouvelé.

Les Troupes cartonnent

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Philippe Pernet

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Bernard Perey et Isabelle Pernet

Il faut dire aussi que la troupe est bien servie par un «figurant de l'ombre», en la personne de Philippe  Pernet, chargé des décors et de l'accueil. " J'essaie de soigner les détails au maximum, en essayant dès l'entrée de donner l'impression qu'on entre dans un théâtre et pas une salle de gym! Pour la pièce, une porte reste une porte, alors il faut trouver l'idée pour que le spectateur comprenne tout de suite qu'il est à l'hôpital".

Au prix d' une prouesse technique  digne  d' un  roi  de la bricole, Philippe Pernet fait même tomber de la neige derrière une fenêtre qui favorise quelques situations loufoques. Un travail méticuleux  et   créatif  qui mérite bien d'être mis en lumière.

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Des Hurluberlus plus déjantés que jamais

Ne pas se prendre la tête et rire un bon coup. Les Hurluberlus de Denens auraient-ils trouvé la formule magique pour attirer les foules dans leur petite salle communale? Jeudi soir lors de la supplémentaire, il a fallu rajouter des chaises tant les gens avaient envie de ne pas rater la cuvée de 2017 mise en bouteille par La Castou.

Le cadre? Une école. Le sujet? Un mariage. Les personnages? Les membres de la troupe mis en scène par La Castou. Autant dire que la recette fonctionne à l'enseigne d"On ne choisit pas sa famille", une pièce qui annonce d'emblée la couleur avec des histoires de clans, deux jumelles impossibles à reconnaître, le frère bani qui revient pile le Jour-J, les serveurs incompétents, les jeunes sans permis qui cabossent la voiture, le discours du chef de famille... bref: tout y passe!

Dans un rythme endiablé, les deux heures de spectacle passent à une vitesse folle et les rires fusent, encore plus dans la partie finale où les scènes cocasses se succèdent. Impossible de citer un nom plutôt qu'un autre car même les petits rôles sont joués à merveille, qu'il s'agisse des deux ados ou de la serveuse un rien stupide.

Et la pièce n'est qu'un des trois actes de la soirée puisque les spectateurs ont plaisir à venir une heure avant pour boire un verre, alors que nombreux sont ceux qui restent volontiers pour trinquer avec les comédiens une fois le rideau retombé.

Un mot tout de même sur les "acteurs de l'ombre", au maquillage, à la coiffure ou à la technique. Mais impossible d'oublier le rôle de Philippe Pernet, le municipal du village qui a dans ce cadre un dicastère long comme le bras entre la construction des décors, la cuisine, l'accueil et tout le reste. Car il faut aussi des gens qui oeuvrent en coulisses pour que de telles aventures fassent autant plaisir au public qu'aux stars d'un soir.

03.11.2017 Journal de Morges // Cédric Jotterand

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Coupe du monde du rire pour les Hurluberlus

​Les Hurluberlus sont vraiment de drôles d’oiseaux, qu’aucun épouvantail n’aurait eu l’idée de chasser de la cantine de Denens jeudi soir, pour la grande première de «L’amour foot» pièce de boulevard à succès jouée par la troupe menée par La Castou, promue entraîneur de cette jolie équipe. Ce n’est pas qu’on les attendait au tournant, mais après le succès du «Destin de Jean-Louis», on se demandait tout de même si le soufflé pouvait remonter. La réponse est sans équivoque: un grand oui aussi net qu’un but tir dans la lucarne!.

C’est que le texte tourne cette fois autour du club de foot local, le FC Denens (ne cherchez pas le terrain si vous passez au village ces jours…), en mal de résultats. Un renfort serbe pourrait pourtant sauver le club grâce à ses pieds magiques, mais voilà qu’il s’est surtout illustré jusqu’ici par ses tirs… dans les vitrines des commerçants et plutôt avec des cailloux que des ballons. Une situation qui donne lieu à des dialogues épatants, et largement remaniés à la sauce régionale, entre le syndic, le président, sa femme, la mère du joueur, qu’on découvrira tous liés les uns aux autres au fil de la pièce. Mais chut, inutile de dévoiler le scénario d’un match très applaudi par un public entassé sous la cantine évidemment complète.  Les Huluberlus jouent d’ailleurs la deuxième mi-temps ce vendredi soir pour les chanceux qui ont un billet, les prolongations étant heureusement déjà prévue à la fin octobre à la salle communale. 

14.08.2015 Journal de Morges // Cédric Jotterand

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Les Hurluberlus et l’amour du football

30.10.2015 - La Côte // Fabienne Morand

​Les Hurluberlus et l’amour du football

La commune de Denens n’a pas de stade de football, ni un véritable terrain, mais compte un club de foot. Toutefois, ce dernier est en manque d’effectifs. Pour le prochain match, l’équipe ne peut aligner que huit joueurs, pas suffisant pour espérer une victoire. La solution pourrait venir du «Messi-Ibrahimovic-Platini mais avant la Fifa» habitant le village.

 Mais ce dernier, Franjo Alanic, est le meneur d’une équipe de délinquants. Ils ont commis divers délits; des incidents qui ont engendré une colère des villageois. Une situation délicate à gérer pour le syndic peu avant les élections. Heureusement, tout ceci, ou presque puisque Denens n’a effectivement pas de terrain de foot, n’est autre que la trame d’«Amour foot». Une comédie de Robert Lamoureux revue par la troupe de théâtre amateur de Denens, les Hurluberlus. Cette société est née de la précédente expérience sur les planches, le «Destin de Jean-Louis» joué en 2013 et 2014. Une aventure née de l’initiative de la Municipalité qui souhaitait réunir le village autour d’un événement. Un objectif réussi puisque les Hurluberlus espèrent présenter, annuellement, une pièce humoristique. «Des gens que j’adore» L’«Amour foot», qui originellement ne se déroule pas à Denens, a été adapté au village avec des clins d’œil au châtelain, à la boulangerie ou à des quartiers existants. Le syndic – joué dans la pièce par Jan Kocher, municipal à Ballens – s’y reconnaît-il aussi? «Non, pas du tout, il est fou, lui», répond le vrai syndic de Denens, Bernard Perey, qui campe un commerçant haut en couleur (le rose lui va à ravir) dans cette comédie. Pour diriger cette joyeuse troupe de neuf comédiens amateurs âgés de 40 à 65 ans, les habitants sont allés chercher l’une de leur villageoise, La Castou. Catherine Burkhardt, de son vrai nom, actrice, danseuse et chanteuse suisse s’y est installée il y a près de 10 ans. «Je suis tombée sur une équipe et la mayonnaise a tout de suite pris, je ne les connaissais pas au départ. Ce sont maintenant des gens que j’adore, lâche-t-elle avec son sourire inégalable. Ces habitants sont sans prétentions, ils ont envie de jouer et sont à l’écoute. Mais un amateur a tendance à surjouer au départ. Je me suis demandé comment j’allais leur expliquer. Alors je les ai imités.» Rien de mieux pour casser la gêne des débuts. «Déjà avec la première pièce, j’étais très satisfaite de leur professionnalisme et, pour cette seconde, les acquis sont restés. Je n’ai pas hésité à me lancer une deuxième fois dans l’aventure et, en plus, je pense qu’il y en aura une troisième. Ils en veulent. Je ne peux pas prendre ma retraite», s’exclame La Castou, 67 ans. Que ce soit pour les répétitions, la mise en place des décors et de la salle, tous relèvent la bonne ambiance qui règne. Des moments importants, qui soudent et enrichissent une société, selon la troupe. Le succès est au rendez-vous de cette pièce qui avait été présentée sous cantine lors de la Fête des épouvantails, en août.

14.08.2015 Journal de Morges // Cédric Jotterand

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Denens recherche des joueurs de football

29.10.2015, PAR FABIENNE MORAND

Après le succès du «Destin de Jean-Louis» en 2013 et 2014, les Hurluberlus jouent «L’Amour foot», ce week-end à Denens.

La commune de Denens n’a pas de stade de football, ni un véritable terrain, mais compte un club de foot. Toutefois, ce dernier est en manque d’effectifs. Pour le prochain match, l’équipe ne peut aligner que huit joueurs, pas suffisant pour espérer une victoire. La solution pourrait venir du «messi-ibrahimovic-platini mais avant la Fifa» habitant le village. Mais ce dernier, Franjo Alanic, est le meneur d’une équipe de délinquants. Ils ont commis divers délits; des incidents qui ont engendré une colère des villageois. Une situation délicate à gérer pour le syndic peu avant les élections.

Heureusement, tout ceci, ou presque puisque Denens n’a effectivement pas de terrain de foot, n’est Autre que la trame d’«Amour foot». Une comédie de Robert Lamoureux revue par la troupe de théâtre amateur de Denens, les Hurluberlus, et mise en scène par La Castou. 

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C'est l'amour fou entre La Castou et ses comédiens, ici Jan Kocher. Le municipal de Ballens est syndic de Denens dans la pièce de théâtre

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Reportage La Télé

​Un reportage a été filmé par LA TELE dans le cadre de la fête de l'épouvantail avec l' interview du président de la troupe - Marc-Henri Sauty

Mercredi 12 août: Festival des Épouvantails, Denens

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